La première preuve écrite sur l'existence de la canne à sucre remonte à Alexandre Le Grand, c'est-à-dire vers 327 avant Jésus-Christ. À cette époque, un de ses Généraux avait laissé un témoignage à propos de la canne à sucre : "un roseau en Inde qui produit du miel sans le concours des abeilles et à partir duquel est produite une boisson intoxicante, bien que ni les graines, ni les fruits ne soient utilisés". Ils en rapportèrent donc en Occident.
Le sucre devint très vite le premier enjeu du commerce international. Cette culture était exercée par des planteurs riches. En effet, le matériel était très cher et cette culture exigeait beaucoup d'attention et de soins ainsi qu'une main-d'œuvre conséquente pour travailler dans les plantations de plus en plus nombreuses. Or, la main-d'œuvre amérindienne est insuffisante. Les Européens vont donc aller chercher la main-d'œuvre indispensable dans leurs autres colonies : en Afrique. Le commerce du sucre va donc entraîner la naissance du trafic d'esclaves. Non seulement les plantations de canne à sucre demandaient une importante main- d'œuvre mais elles appauvrissaient aussi les sols. Les Européens cherchèrent donc de nouvelles terres où leurs productions pourraient perdurer.
Avant l'arrivée des Européens, le
territoire correspondant aujourd'hui au Surinam était peuplé de tribus
d'Amérindiens, Arawaks et Caribes.
Les Néerlandais occupèrent le territoire en 1581 et, durant la première moitié du XVIIe siècle, des négociants anglais colonisèrent la région. En 1667, les Britanniques cédèrent leur part aux Néerlandais en échange de la Nouvelle-Hollande (en Amérique du Nord).
Les Néerlandais occupèrent le territoire en 1581 et, durant la première moitié du XVIIe siècle, des négociants anglais colonisèrent la région. En 1667, les Britanniques cédèrent leur part aux Néerlandais en échange de la Nouvelle-Hollande (en Amérique du Nord).
Les esclaves d'Afrique arrivèrent dès 1650.
A l'abolition de l'esclavage en 1863 , les colons font venir la main d'œuvre depuis l'inde et Java.
La canne était cultivée le long des rivières qui servaient de moyen de transport car il y avait peu de route.
Au XVIIe siècle, le sucre était encore une telle rareté que le sucrier qu'on posait sur la table était fermé à clef. Le chef de la famille seul en possédait la clef et distribuait les minuscules morceaux, les miettes de sucre au dessert. Il était convoité par tous. Même à la cour de Louis XIV, l'usage en était resté très restreint, et l'honneur était grand pour les courtisans et les hôtes si le roi-soleil sortait la clef et faisait de ses propres mains, parcimonieusement, la distribution.
Actuellement , ce sont le Brésil et l'Inde qui sont les premiers producteurs.
Nous commençons la visite par les plantations.
Les noms indiquent déjà l'origine de propriétaire: "La solitude" ,
Les noms indiquent déjà l'origine de propriétaire: "La solitude" ,
Notre pirogue prenait l'eau et a eu une panne de moteur pendant 1/2h , nous avons dérivé sur la rivière.
Mais j'ai vu le dos d'un lamentin...
Les "cabosses" de cacao.
Les vestiges des machines qui servaient à broyer la canne.
Puis re bateau vers l'usine sucrière.
LES PREMIERS JAVANAIS
Retour en bateau
la mer monte
AVEC LES BATEAUX DE PECHE
La canne à sucre c'est aussi le RHUM et l' APERO en bateau super!!
Avant l'arrivée de la pluie